Léconi se réveille sous le choc. Dans la nuit du 25 au 26 juin, un acte de sabotage a visé les installations de la Société d’Énergie et d’Eau du Gabon (SEEG). Le câble alimentant l’armoire électrique de la prise d’eau de la ville a été dérobé, privant de facto l’ensemble des populations d’accès à l’eau potable.
À cet effet, une plainte contre X a été déposée, et une enquête a été ouverte pour identifier les auteurs de cet acte criminel qui menace directement la santé publique et le bien-être collectif. Ce sabotage survient au moment même où les plus hautes autorités du pays, en tête desquelles le Président de la République, Chef de l’État et Chef du Gouvernement, Son Excellence Brice Clotaire Oligui Nguema, déploient des efforts considérables pour améliorer l’adduction à l’eau potable sur l’ensemble du territoire national.
Alors que des investissements sont consentis pour moderniser les réseaux et rapprocher l’eau des populations, de tels actes relèvent d’un sabotage inacceptable de la politique de redressement national engagée par le Chef de l’État. Il est désormais impératif de faire des exemples. L’État ne peut tolérer que des individus mal intentionnés sabotent des équipements stratégiques, compromettant ainsi la sécurité hydrique des citoyens.
Il est temps de frapper avec la dernière énergie. Léconi, comme le reste du Gabon, a droit à une distribution d’eau continue et sécurisée. Toute personne reconnue coupable devra répondre de ses actes devant la loi, afin que de tels incidents ne se reproduisent plus.