C’est très clairement une annonce qui résonne comme une confirmation éclatante des propos du Président de la République Chef de l’État, Brice Clotaire Oligui Nguema. Dès ses premières interventions en qualité de Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, il avait affirmé avec conviction que le pétrole gabonais n’avait pas dit son dernier mot. Il en était persuadé : le sous-sol gabonais recèle encore d’immenses trésors. Et aujourd’hui, la découverte d’un vaste gisement pétrolier au large de Mayumba vient valider cette parole de dirigeant éclairé.
Une découverte d’envergure : 56 millions de barils estimés
Le puits d’évaluation DBM-1 ST2, foré avec succès à l’aide de la plateforme Norve, dans le cadre du permis Dussafu Marin, a révélé des réserves impressionnantes. Selon les premières estimations, ce nouveau gisement baptisé « Bourdon » renfermerait jusqu’à 56 millions de barils de brut en place, dont 25 millions seraient techniquement récupérables. Il s’agit d’un pétrole de qualité, plus fluide que celui des gisements voisins, situé à proximité de la FPSO Adolo et des infrastructures de MaBoMo.
Une perspective stratégique se dessine : la création d’un nouveau cluster de production avec au moins quatre puits, une démarche qui prolongera la durée de vie des installations et renforcera la production nationale.
Si BW Energy, société norvégienne, détient 73,5 % des parts dans le permis Dussafu, et Panoro Energy 17,5 %, il convient de souligner avec force le rôle actif et déterminant de la Gabon Oil Company (GOC), qui détient actuellement 9 % des parts. En tant que bras opérationnel de l’État, la GOC a activement participé à cette découverte stratégique, démontrant l’expertise gabonaise dans un secteur longtemps dominé par les majors étrangères.
Comme l’avait annoncé le nouveau locataire du Palais Rénovation du bord de mer, soucieux de restaurer la souveraineté économique du pays, l’État entend accroître sa participation dans l’exploitation de ses ressources naturelles. Conformément au Code pétrolier en vigueur, BW Energy devra céder 15 % de ses parts à l’État gabonais, ce qui porterait la participation totale du Gabon à 24 %. Une avancée significative qui permettra au pays de mieux tirer profit de ses richesses.
Le rachat stratégique d’Assala Energy par l’État gabonais était déjà un signal fort de cette volonté de reprendre le contrôle des leviers économiques. Le Numéro Un Gabonais, véritable architecte de la reconquête économique, ne cesse de démontrer que le Gabon peut et doit se réapproprier ses ressources.
Cette nouvelle découverte à Mayumba, qui assure au pays des réserves pour les six prochaines décennies au moins, vient ainsi conforter une trajectoire de croissance maîtrisée et souveraine. Depuis son arrivée à la tête de l’État, le Chef de l’État ne cesse de porter chance au pays : chaque annonce majeure, chaque décision stratégique semble marquée du sceau du renouveau et de l’espoir.
L’enjeu est de taille : réduire la dépendance, renforcer l’économie nationale et faire du pétrole un véritable moteur de développement. Avec des réserves désormais mieux connues et une stratégie claire d’augmentation des parts étatiques, le Gabon pose les bases d’un nouveau modèle, à la fois responsable, inclusif et audacieux.
Brice Clotaire Oligui Nguema, par sa clairvoyance et son engagement, trace une nouvelle voie pour le Gabon. Celle d’un pays qui, loin de subir les diktats étrangers, entend désormais écrire sa propre histoire énergétique.