Dans le cadre de son engagement en faveur de la justice sociale et du bien-être des citoyens, le gouvernement gabonais a franchi une étape décisive en procédant au règlement des arriérés de salaires et de pensions accumulés depuis une décennie. Sous l’impulsion du Président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, une enveloppe de 64 milliards de francs CFA a été débloquée pour honorer ces engagements.
Un signal fort en faveur des agents publics
Ce paiement marque une volonté claire de l’État de rétablir la confiance avec les fonctionnaires et retraités. Pendant des années, ces derniers ont fait face à des retards de paiement, source d’incertitudes et de difficultés économiques. Avec cette décision, le gouvernement démontre sa détermination à corriger les erreurs du passé et à garantir une gestion plus rigoureuse des finances publiques.
Un plan de paiement structuré et transparent
Afin d’assurer une exécution efficace, le règlement des arriérés se déroulera en deux étapes :
1. 31 mars 2025 : Paiement de la deuxième tranche des pensions pour les retraités du secteur public.
2. À partir du 7 avril 2025 : Versement des arriérés de salaires pour les fonctionnaires en activité.
Ce calendrier témoigne d’une organisation claire et d’une volonté d’apporter des solutions concrètes aux préoccupations des agents de l’État.
Une nouvelle dynamique pour la gestion des finances publiques
Au-delà du paiement de ces dettes, cette initiative ouvre la voie à une meilleure planification budgétaire et à une gestion plus efficace des ressources de l’État. Elle illustre l’engagement du gouvernement à assainir les finances publiques et à éviter la reproduction de telles situations à l’avenir.
Vers une relation de confiance renouvelée
Cette action gouvernementale est accueillie avec satisfaction par les bénéficiaires et les partenaires sociaux. Elle constitue un geste fort en faveur de la stabilité sociale, tout en reflétant la volonté du chef de l’État de placer l’humain au cœur de son action.
En honorant ses engagements, le Gabon envoie un message clair : l’État veille désormais à la dignité et aux droits de ses agents. Cette dynamique positive ouvre la voie à un avenir plus serein et équitable pour tous les fonctionnaires et retraités du pays.